Une infographie qui liste 10 points précis (5 sur la requête elle-même, 5 sur le contenu des pages web), permettant de mieux comprendre ce qu'est la notion d'intention de recherche, et d'entrevoir différentes façons de l'intégrer sur son site web...
Notre infographie du vendredi est proposée aujourd'hui par Abondance (oui, c'est nous 🙂 ) et nous propose 14 points à mettre en place dans sa stratégie SEO pour prendre en compte la notion d'intention de recherche ("search intent" en anglais).
En effet, lorsque qu'on parle de "mots clés" ou de "requêtes", c'est assez concret : il s'agit clairement d'un mot ou d'une expression (suite de plusieurs mots). Mais l'intention de recherche est une notion plus floue. Pourtant des algorithmes comme Hummingbird, Rankbrain ou Bert plus récemment ont mis en lumière ce concept important. Alors, comment faire pour mieux maîtriser cette notion d'intention de recherche ? Cette infographie vous y aidera peut-être...
Au niveau de la requête :
- La longueur de la requête
Plus il y aura de mots dans une requête, au mieux le moteur pourra comprendre l'intention de recherche de l'internaute. - La précision de la requête
L'idéal est d'identifier une requête claire, avec le moins d'ambiguïté possible au niveau des possibilités de réponses. - Le contexte des mots
En cas de polysémie (mots ayant des sens différents), les algorithmes de type Hummingbird, Rankbrain ou Bert vont mettre en relation les termes entre eux pour mieux les analyser. - Les mots significatifs
Certains termes peuvent donner des indications sur l'intention de recherche de premier niveau : acheter, vendre (transactionnel), quel, comment, qui (informationnel), marque (navigationnel). - La forme interrogative
Les questions, notamment, donnent souvent de nombreuses indications sur le type d'information recherchée : Comment, Qui, Où, Que, etc. De plus, elles sont souvent une porte vers la recherche vocale.
Au niveau du contenu des pages :
- Analyser les SERP sur les requêtes ciblées
Regarder les résultats de recherche (Top 10 au moins) donne une idée du type de contenus renvoyés par le moteur et donc comment ce dernier analyse la requête. - Proposer un champ lexical très riche
Synonymes, termes et expression en relation avec la requête : plus le champ lexical sera riche et varié et mieux vous expliquerez aux moteurs (et aux internautes) de quoi vous désirez parler. - Utiliser les Balises de Données Structurées
Les balises Schema.org sont indispensables pour donner un second niveau d'information sur vos contenus. Elles permettent aux moteurs de mieux analyser vos textes et leur sémantique. - Multiplier les types de supports
Le texte, c'est parfait et indispensable. Mais pensez également aux images et aux vidéos pour apporter une réponse encore plus élaborée et plus pertinente. - Une parfaite qualité du contenu
La quantité de texte est importante (visez au moins 700 à 800 mots), mais il est avant tout indispensable de proposer un contenu de meilleure qualité que tout ce que vous pourrez trouver sur le Web pour répondre à la requête ciblée.
Sans oublier les fondamentaux : une excellente optimisation SEO (balises H1-H6, Title, mots en gras, etc.) et des liens, naturels et de qualité bien entendu 🙂
Comment prendre en compte l'intention de recherche en SEO ?. Source : Abondance.
Bonjour, merci beaucoup pour cette infographie ! Dans la logique de l’intention de recherche (mais aussi et surtout du vocal search sur lequel ej lis), pensez-vous qu’il est « meilleur » d’un point de vue SEO d’insérer des questions dans l’article que l’on rédige (au niveau des balises par exemple) ? Est-ce que cela aide Google a mieux comprendre le sujet et donc potentiellement mieux « matcher » avec l’intention de recherche de l’utilisateur (VS une page où aucune question n’est incluse dans le texte) ? J’imagine que cela peut aussi aider pour atteindre des positions zéro… 🙂
Si l’intention de recherche se base sur des questions, oui, bien sûr, c’est une bonne façon de faire 🙂