Selon Sergey Brin, co-fondateur de Google cité par le site Marketplace, 1% des recherches Google seraient effectuées par l'intermédiaire du bouton "I'm feeling lucky" (ou "J'ai de la chance", sur la version française du moteur), qui renvoie directement vers le site classé en première position dans la page de résultats (essayez pour le mot clé "abondance" par exemple) du moteur.
Seulement, le fait que l'on "shunte" ainsi cette page de résultats empêche d'afficher - et donc de cliquer sur - des liens sponsorisés, d'où un manque à gagner certain pour Google... Ce manque à gagner a été estimé par Tom Chavez, CEO de la société Rapt, à 110 millions de $ par an. Une paille...
Mais Google estime, malgré la faible utilisation de ce bouton et la perte financière que son utilisation génère, qu'il doit le laisser à la disposition des internautes...
A propos de ce bouton, le site Vulnerabilité.com nous apprend que certains spammeurs l'utiliseraient dans le cadre de spam pour ajouter de la crédibilité à leurs actions (plus d'infos sur le site de Symantec). Consternant...
hummm, hyper connu ce gg bombing…puisqu’il date du début de la guerre en Irak…où rappelons le, seuls les français (et le allemands) avaient eu la clairvoyance d’éviter (argumentant que Bush and co menaient cette guerre pour des raisons très discutables…)
Quelques années plus tard, avec le recul, et le bourbier qu’est devenu cette guerre, on peut se rendre compte que faire un gg bombing est une chose qui doit se réfléchir, sous peine de passer pour un gros imbécile.
Sinon, le captcha de ce blog est vraiment insupportable 🙂
Bonjour,
Il y a plus amusant : plutôt que le terme « Abondance », tentez votre chance avec « french military victories ».
Google Bombing’s not dead! ;o)
Disons que ça lui coût le prix à payer pour être fun…
🙂
Justement, c’est ça le truc, est-ce qu’il en perd vraiment ? Ne serait-ce même qu’un seul centime de dollar ? Je trouve aussi qu’1% c’est énorme, mais qu’importe, les gens qui utilisent ce bouton savent exactement ce qu’ils cherchent, non ? Par conséquent ils ne sont pas aptes à cliquer sur les pubs. Sauf si ce sont vraiment des requêtes capillotractées, bien entendu.
Le bouton le plus célèbre du monde ^^
Salut
euh pas dac avec cette vision : les 1%concernent bien le bouton « I’m feeling lucky » selon Sergey Brin et Marissa Meyer : « I would say it’s less than 1 percent of our searches are done through the « I’m Feeling Lucky » route » (voir lien fourni dans l’article).
En revanche, selon moi, elle (ou Sergey Brin) aurait pu dire 0,5 ou 2% ou un autre chiffre, ça ne m’étonnerait pas plus que ça. Et ce n’est pas très grave après tout.
Ce qui est plus intéressant, c’est de se rendre compte qu’au travers de ce bouton, Google perd de l’argent, peu importe la somme finalement… Et c’est vrai que je n’avais jamais « percuté » à cela…
Cordialement
Salut Olivier
décidément je suis actif sur ton blog aujourd’hui.
Juste pour dire que cette étude est contestée un peu partout sur la toile, pour deux raisons :
– Dans les 1%, cela compte les gens qui tapent directement le mot clé dans leur barre d’adresse, qui est souvent associée à la fonction j’ai de la chance de Google.
– Le calcul du gars a été fait comme si chaque personne qui utilise ce bouton utilisait l’autre à la place aurait, en moyenne, le même taux de clic que les utilisateurs « normaux » de Google. Ce qui n’est pas le cas bien sur, puisque les gens qui utilisent ce bouton sont les mêmes qui cliqueraient directement sur le premier résultat naturel 😉