Amusant : pour ma part, je compare souvent une tentative de référencement à une course à pied : au début, il y a un certain nombre de concurrents et le but est de finir dans les premiers (les 10 premiers ou, mieux, sur le podium des 3 premiers). Plus il y a de concurrents, plus ce but est difficile à atteindre. Et plus il y a de coureurs professionnels, plus cette difficulté augmente...
David Durand Pichard, lui qui pourtant pratique assidûment l'athlétisme, compare le référencement à une course Formule 1 sur son blog : Quand on compare un site internet à un autre site web, il faut vérifier que les moyens mis dans une écurie sont à la hauteur des ambitions. Toutes les écuries n'ont pas les mêmes ambitions (ni les moyens de ces ambitions) : certaines visent la pôle position, le championnat constructeur, le championnat pilote, rentrer simplement dans les points, finir la saison honorablement...
Après tout, ces deux notions se rapprochent pour dire que le fait d'être dans les premiers résultats des moteurs de recherche, c'est une vraie compétition... Et un vrai sport...
Ah oui c’est le mot exact ! le référencement c’est du sport ! Bravo pour cette métaphore ! C’est répétitif, c’est surtout la course à la première position ! Plus on court plus avance, parfois, sans se rendre compte, notre organisme freine un peu mais après on reprends vite notre chemin…
J’ai bien aimé la métaphore de la recette de gâteau et j’aime bien celle-là également.
moi je ferais plutot un parraèle sur le foot à l’italienne (style Catenaccio des années 60) : beaucoup de passes latérales (les liens qu’on crée patiemment) pour peu de progression sur le terrain (le ranking au final). Mais c’est aussi très proche de la course de fond style marathon …
C’est aussi extrêmement répétitif… comme la course à pied.
Oui ! tout dépend de son point de vue.
Pour ma part, je confonds restauration et référencement.
1— la recette d’un référencement se réalise avec de nombreux ingrédients.
2— Touts ces ingrédients ne sont pas du goût de tous. En effet, les piments sont mal supportés par certains organismes, comme certaines techniques par les moteurs de recherche.
3 — Un référenceur est comme un chef de cuisine, il osera utiliser de nouvelles formules pour être plus performant, mais il testera ses plats avant de les proposer à sa clientèle.
4— Si la recette n’est pas bonne, il le saura tout de suite en sortant le plat du four, il sera brûlé par les outils de recherche.
5— La longue traîne me permet de récupérer des clients pour mon restaurant après avoir participé à des rencontres qui n’ont rien à voir avec la gastronomie.
6— De nombreux de restaurant s’ouvrent….
Pour faire un parallèle à l’athlétisme, je pense plutôt au décathlon où l’important est d’avoir un niveau élevé mais où l’objectif est d’être le mieux positionné.
Inutile de gagner toutes les courses pour se retrouver à la rue sur les sautes ou les concours.
Moi, je vais abandonner le référencement quelques temps pour me consacrer aux Championnats du monde vétérans d’athlétisme à Riccione (Italie) du 5 au 16 septembre.
ah ah dopage, claquage, excellent…
🙂
On doit pouvoir en trouver d’autres !!
Et la sandbox, c’est ce que l’on appelle un claquage.
Ca arrive brutalement, ça fait très mal mais on peut s’en remettre en quelques mois…
et plus que tu essais on dirait que moins tu réussis 🙁
:p
C’est pas faux c’est du sport le ref !
PS : Faire attention au coquilles 🙂
j’ai naturellement un taux d’hématocrite de plus de 49% (la limite autorisée est de 50%) 😉
C’est un vrai sport en effet : il y a même du dopage, c’est dire 😀