Une infographie qui affiche les résultats d'une enquête sur la satisfaction des internautes envers les moteurs de recherche et les réseaux sociaux. Une cote qui n'a jamais été aussi basse depuis 10 ans...
Notre infographie du vendredi est proposée aujourd'hui par le site ForeSee qui vient de publier une étude en collaboration avec l'ACSI (American Customer Satisfaction Index) portant sur la satisfaction des internautes américains envers les moteurs de recherche, les réseaux sociaux et les sites d'actualité. Cette cote est ainsi annoncée à son plus bas niveau depuis 2003 : -6,1% pour Google, -6,2% pour Bing, -2,6% pour Yahoo!, etc. Un signal d'alarme pour ces différents sites ? (cliquez sur l'image pour en obtenir une version agrandie) :
 Source de l'image : ForeSee |
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Ça ne va malheureusement pas s’arranger ! Google a implémenté ce week-end un nouvel algorithme dans son moteur, et d’après mes premières constations les sites étant reliées le mieux aux produits google (Map, Google+ …) sont encore mieux classés au détriment des autres. La neutralité se perd peu à peu …
Les moteurs de recherche sont devenus comme les petits journaux d’annonces gratuites qui polluaient nos boites aux lettres. Quand je pense qu’en 1999, je conseillais à mes clients Google parce qu’il n’y avait que des résultats, pas de publicité, Madre Mia !!!
Vu le renforcement publicitaire sur Google, j’aurai tendance à me satisfaire de cette info. Mais malheureusement la tendance est globale sur les moteurs… donc pas vraiment de quoi se réjouir, la world company a de beaux jours devant elle…
Bonjour, merci pour cet article 🙂 Les réseaux sociaux ont un peu plus la cote en ce moment
Une infographie très étonnante par sa richesse en information. Je reste toujours admiratif face à des agences qui réalisent ce genre d’infographie. Une comme celle-ci peut prendre un temps considérable, tant pour la recherche des données que pour la réaliser. Merci pour cette infographie du vendredi 😉
Bonjour,
Cela n ‘a malheureusement rien d’étonnant, la pollution du net et des autres moyens télémarketing et notamment pas la pub force les « consommateurs » à s’en détacher.